Satanta (ca. 1820 - 1878) was a Kiowa war chief. He was a member of the Kiowa tribe, he was born about 1820, during the height of the power of the Plains Tribes, probably along the Canadian River in the traditional winter camp grounds of his people. He was also known as Settainte (White Bear). (Wikipedia)
Satanta, ou Ours Blanc, était aussi appelé "Tata Kiokio" par les plus téméraires colons de son temps. Mettant en doute sa virilité, ils osaient demander si Satanta en avait.. Mal leur en prenait.
Ils comprenaient alorsqu'il n'avaient pas affaire à une femme de ménage, mais à un technicien de (très grande) surface.
Et surtout qu'il n'avait pas non plus obtenu son CAP de coiffeuse, tout en continuant à exercer, ce qui est très mal.
Blague à part, son histoire est terrible et tragique.
Dessin très cheap, limite vintage : stylo Bic orange sur papier photocopie perforé 80g, moins cher tu peux pas ! Nettoyage de scan et passage en bichromie pour la teinte sepia.
Satanta, ou Ours Blanc, était aussi appelé "Tata Kiokio" par les plus téméraires colons de son temps. Mettant en doute sa virilité, ils osaient demander si Satanta en avait.. Mal leur en prenait.
Ils comprenaient alorsqu'il n'avaient pas affaire à une femme de ménage, mais à un technicien de (très grande) surface.
Et surtout qu'il n'avait pas non plus obtenu son CAP de coiffeuse, tout en continuant à exercer, ce qui est très mal.
Blague à part, son histoire est terrible et tragique.
Dessin très cheap, limite vintage : stylo Bic orange sur papier photocopie perforé 80g, moins cher tu peux pas ! Nettoyage de scan et passage en bichromie pour la teinte sepia.
Waou ! Quelle intensité ! On peut dire que là que envoies certains balayer devant leur porte, je trouve ton art très exercé en tant que technicien de surface qualifié !
RépondreSupprimerJ'attendais avec impatience la deuxième femme de ménage et je ne suis pas déçu ! C'est du trés bon boulot, haut de gamme. Tu as même réussi à rendre avec ton stylo sa peau burinée (voire craquelée) par le soleil et les soirées à s'endormir trop près du feu (d'où l'expression femme au foyer). Bravo, jamais deux sans trois ?
RépondreSupprimerPeu importe le flacon (ou le papier, ou le stylo...), pourvu qu'on ait l'ivresse. Il n'y a que le résultat qui compte, et c'est un plaisir quand il tient la route comme ce dessin, une fois de plus.
RépondreSupprimerTu as parfaitement restitué le trouble qu'on ressent dans pratiquement toutes les photos d'époque montrant les Amérindiens : une sorte de méfiance et de peur mêlées dans le regard, quand ce n'est de la colère rentrée ou une expression de défi. Même s'il ne faut plus qu'allumer de la paix de nos jours, cet hommage à un grand guerrier au combat alors légitime est magnifique.
Merci Poussinaute :tu me fais penser que c'est mon tour de nettoyer la cage d'escalier. Voila, c'est ça, l'appel des grands espaces...
RépondreSupprimerDonc merci Christophe, y'aura bien d'autres femmes de ménages, tu pourras rigoler (t'en mènerais pas large pourtant, en vrai). Pour la texture de la peau, ça sera pas toujours comme ça : 1 parce que les photos de ref seront pas toujours aussi bonnes, 2 parce que c'est c....
Merci Thierry : pour le support et la technique, de toute faàon, je me lache plus quand c'est un brouillon que sur une belle feuille bien propre. Alors j'ai décidé de faire que des brouillons.
Et ce qui m'intéresse, tu l'as justement souligné, c'est cette intensité et ce trouble, entre la peur, la colère, le défi et l'immense fierté que l'on retrouve sur presque toutes les photos de chef indiens. Tous ces sentiments mélés.
cool piece !!!
RépondreSupprimerTu nous sort de ton grand chapeau une Tata Kiokio, n'en déplaise à Annie, plus trituré qu'enjoué.
RépondreSupprimerCe que j'aime bien dans l'utilisation du bic pour ce genre de caricature, c'est cet effet gravure, et le grain des vieilles photos d'antan.
Et là tu l'as magnifiquement géré.
super boulot, très fidèle à la réalité ! That's great !
RépondreSupprimercarlos
http://coureaucharles.blogspot.com/
Excellent!!!
RépondreSupprimerMoi j'adore les crobards "fait avec peu d'chose", on s'attarde bien + sur l'essentiel (qu'on soit le dessineux ou l'observateur) et on apprécie beaucoup plus le talent de celui qui le pond...Mais bon, ceci ne regarde que mézigue.
Bravo Jean-Marc!
Thank you veey much Patrick
RépondreSupprimerMerci Guillaume : oui, il est un peu trituré çuilà. Et c'est vrai que le stylo c'est le top pour ce type de rendu.
Merci Charles - je dirai "Carlos" pour pas de confusion avec "l'autre Charles".
Et merci Denis : hé, quand t'as un truc en tête, tu veux avoir le dernier mot, tu laches rien.
Héhéhé. Disons plutôt que tu fournis là un bien bath exemple...alors je développe.
RépondreSupprimerouais.
RépondreSupprimerC'est bien comme ça que je l'avais compris.
N'empêche que ça m'empêche pas de faire chauffer ma carte graphique et mes processeurs : toshop tourne à plein régime !
et toc !
Hug !
RépondreSupprimerOh tabarnak, avant de lire le nom et le texte explicatif, j'ai cru que c'était une caricature de Soeur Marie-Thérèse des Batignoles... y'a comme un air de famille non ? ;o)
RépondreSupprimerTiens, j'avais pas pensé à ça !
RépondreSupprimerEt en même temps, c'est pas faux, mais ni volontaire ni revanchard, bien que Maester a compare mon Geronimo à une femme de menage...
"Maester a compare mon Geronimo à une femme de ménage..."
RépondreSupprimerBen oui mais si Maëster embauche des femmes de ménage apaches (et qu'en plus il se sert d'elles comme modèle pour son héroïne), forcément.... ;o)))